Publicité
Publicité
08/01/2024 - #Renault , #Abarth , #Alfa Romeo , #Alpine , #Dacia , #Jeep , #Opel , #Peugeot , #Fiat , #Stellantis

Stellantis, un leader du marché français dans la tourmente en 2023

Par Florence Lagarde
Directrice de la rédaction et Directrice de la publication

Article reservé aux abonnés
Stellantis, un leader du marché français dans la tourmente en 2023
Enorme succès des années récentes, le 3008 a permis à Peugeot de gagner des parts de marché plusieurs années de suite, sa baisse de volume dans le cadre de la transition avec un nouveau modèle explique une partie du recul de 2023.

Avec sept marques sur le marché français, le groupe Stellantis reste nettement leader en volume et part de marché. Cependant si on y regarde en détail, la part de marché cumulée des marques qui le composent est en érosion constante en France depuis la création de Stellantis et elle s’est accélérée en 2023. L’écart avec le rival Renault s’est réduit en VP (très fortement) comme en VUL.

1 actualité

4,00 € HT

Pack 10 Actualités

30,00 € HT

Les différents abonnements InfoMarchéClub

Recevoir par mail la Lettre quotidienne des actualités

Recevoir par mail des Alertes Infos

Recevoir par mail les Lettres Statistiques et Evénements

Accès illimité à tous les articles du journal

Accès illimité à la base de données statistiques automobile

 

Tarifs préférentiels pour les événements Autoactu.com

  

Autres articles

Réseaux

De nombreuses évolutions dans le réseau Kia

Le groupe Priod ouvre un 13e point de vente Kia, à Sélestat, tandis que le groupe Amplitude va en compter autant avec la reprise des sites de Reims et Charleville-Mézières. Jean Rouyer Automobiles reprendra l’activité sur Cholet en avril prochain.

Analyse

L’exercice de la responsabilité élargie des producteurs d’automobiles les oblige à chercher des compromis avec les professionnels

Inquiète des conséquences de l’arrêté pris pour redéfinir le régime légal et contractuel sous lequel devront désormais vivre les centres VHU, la Federec a attaqué cet arrêté devant le conseil d’Etat. Le syndicat professionnel estime en effet que, sous prétexte de responsabilité élargie des constructeurs, le texte leur donne un pouvoir indu sur un secteur qui ne les a pas attendus pour se structurer et se moderniser. Sur le plan historique et symbolique, il est difficile de ne pas partager ce sentiment d’injustice. Néanmoins, sur un plan plus pratique, il paraît assez clair que les constructeurs comme la puissance publique ne pourront que composer avec le secteur existant et que les véritables enjeux vont se situer dans la négociation et l’encadrement des contenus des contrats associés aux systèmes individuels et/ou aux règles définies par les éco-organismes.