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Actualités dans la catégorie Analyse

Lundi 27 janvier 2025

Garder le cap de la décarbonation en Europe sous Trump 2 implique des protections Analyse

La sortie de l’accord de Paris que, une seconde fois, D. Trump a décidé, implique d’embrasser plus clairement une logique protectionniste que lui-même promeut. Le MACF (Mécanisme d’ajustement carbone aux frontières) était déjà un sérieux pas fait dans ce sens. Malgré toutes les difficultés que sa mise en place pose, il incarne les termes du "new deal" que, dans l’automobile comme ailleurs, on doit concevoir. Il substituera à une très grande liberté dans la structuration des chaînes de valeur, la négociation de normes et de contraintes par lesquelles les sociétés diront aux industriels ce qu’elles veulent qu’ils atteignent comme objectifs.

Vendredi 24 janvier 2025

CAFE 2025 : les accords de pooling, coûteux aveux d’échec Analyse - #Tesla , #Geely , #Mazda , #Mercedes-Benz , #Mg , #Polestar , #Saic , #Smart , #Ford , #Stellantis , #Toyota

Pour la première fois, plusieurs constructeurs n’ont pas attendu la fin de l’année pour signer un accord de pooling comme c’est habituellement le cas. C’est bien la démonstration que la demande des constructeurs d’aménagement de la mesure de la conformité CO2 en 2025 est légitime, malgré le déni de la Commission. Explications sur les raisons des décisions de ces accords de pooling et leurs conséquences.

Donald Trump succède à Joe Biden, des ruptures et de la continuité Analyse - #Polestar

Joe Biden a remis les clés de la Maison Blanche à son prédécesseur. Les différences de politiques sont importantes quant aux normes d’émissions. Malgré de profondes différences, il est difficile d’ignorer une certaine continuité entre les politiques démocrates et républicaines. L’emploi, la croissance, la protection des données, les risques en termes d’intelligence stratégique et le protectionnisme vis-à-vis de la concurrence chinoise sont autant d’éléments communs aux deux partis américains.

Lundi 20 janvier 2025

Que mettre à l’agenda du dialogue stratégique de la filière automobile européenne ? Analyse

Les questions urgentes liées au CAFE 2025 semblent avoir bloqué le calendrier d'Ursula von der Leyen qui avait promis en décembre qu’elle conduirait un "dialogue stratégique". L’idée n’est pas abandonnée mais le calendrier est repoussé. C’est l’occasion de se demander quelles sont les questions les plus importantes à traiter dans un tel cadre. Quatre sont ici développées : celle des volumes, celle du type de véhicules électriques souhaité, celle de la batterie et des contenus locaux et celle du financement de la transition.

Vendredi 17 janvier 2025

2024, année en demi-teinte pour l’industrie automobile Analyse - #Bmw , #Porsche , #Stellantis

2024 n’a pas été un bon cru pour l’automobile en général. Seule la Chine s’en sort malgré une perte de dynamisme. Si les raisons de ce ralentissement diffèrent selon les régions, trois causes communes se distinguent. Premièrement, l’incertitude grandissante autour de l’électrification a marqué la demande l’année passée. Deuxièmement, les interférences du monde politique ont plus que jamais déstabilisé le marché. Enfin, les constructeurs ont montré une certaine léthargie post pandémie en termes de produits et de stratégie.

Mardi 14 janvier 2025

Car of the Year 2025, l’émotion et le plaisir de conduite récompensés Analyse - #Renault , #Alpine , #Bmw , #Cupra , #Hyundai , #Kia , #Fiat

La victoire de la R5 et sa déclinaison sportive Alpine A290, c’est le rappel que l’automobile ne se juge pas que sur des qualités rationnelles mais qu’il s’agit aussi d’émotion et de plaisir de conduite. Sur le papier, les Kia EV3, Citroën C3 ou Hyundai Inster avaient beaucoup d’atouts, mais il leur a manqué le petit truc en plus qui déclenche l’enthousiasme. Tour d'horizon des commentaires des membres du jury sur les qualités (et défauts) de la R5.

Lundi 13 janvier 2025

Car of the Year 2025 : Comment j’ai voté et pourquoi ? Analyse - #Renault , #Alfa Romeo , #Alpine , #Cupra , #Dacia , #Hyundai , #Kia , #Nissan , #Stellantis

Quelle voiture mettre en tête et quelles voitures éliminer, ce sont les deux questions qui constituent la première étape de ma sélection. La deuxième consiste à classer les quatre autres voitures avant de distribuer sur les cinq premières les 25 points dont chaque membre du jury dispose. En compétition cette année : Alfa Romeo Junior, Citroën ë-C3/C3, Cupra Terramar, Dacia Duster, Hyundai Inster, Kia EV3, Renault 5/Alpine A290.

R5 : un titre de voiture de l’année accueilli avec fierté et prudence Analyse - #Renault , #Tesla , #Alpine , #Byd , #Dacia , #Mg

Arlésienne durant de très longs mois, la R5 électrique de Renault est enfin dans les rues et l’usine de Douai fonctionne déjà en deux équipes pour faire face aux commandes. Elue voiture de l’année en ce début janvier 2025, la voiture pourrait correspondre à la success story qu’avait rêvé d’écrire le couple Luca De Meo – Jean-Dominique Senard en lançant l’initiative en 2020. Commercialement comme industriellement, l’affaire ne semble pas trop mal partie et pourtant, plutôt que de surfer sur la vague, on a le sentiment que l’on s’interdit, chez Renault, de se laisser griser. A bien y réfléchir, c’est moins d’un excès de modestie qu’il s’agit que de la nécessité de pas trop célébrer le succès dictée par un agenda politique.

Vendredi 10 janvier 2025

CES, le salon donne le ton Analyse - #Bmw , #Honda , #Mercedes-Benz

Début janvier, l’innovation ouvre le bal des salons avec le CES (Consumer Electronics Show) à Las Vegas. La quasi-totalité du hall ouest est consacrée aux mobilités et l’automobile y tient une place importante. Beaucoup de nouveautés mais surtout des tendances technologiques qui pourraient décrire les thèmes de l’année automobile, au-delà des atermoiements politiques et des incertitudes de volumes.

Lundi 6 janvier 2025

Accord Volkswagen du 20 décembre : le modèle allemand fait de la résistance Analyse - #Renault , #Stellantis

Alors que, beaucoup d’observateurs s’inquiétaient de la crise -voire de la fin- du modèle Volkswagen et, au-delà, de la fin de la cogestion à l’Allemande, IG Metall et la direction ont trouvé peu avant Noël un accord. La direction a concédé la non-fermeture de sites d’assemblage en Allemagne et le syndicat a accepté une réduction programmée des effectifs sur cinq ans de 35.000 postes. Ils ont ainsi préservé l’essentiel de l’édifice institutionnel associé à la loi Volkswagen.