Publicité
Publicité
13/11/2023 - #Tesla , #Bmw

Vincent Salimon, BMW Group France, confiant malgré la nouvelle règle du bonus en 2024

Par Florence Lagarde
Directrice de la rédaction et Directrice de la publication

Article reservé aux abonnés
Vincent Salimon, BMW Group France, confiant malgré la nouvelle règle du bonus en 2024
Vincent Salimon, président du groupe BMW en France : "La stratégie du BMW Group est de produire pour les besoins locaux. Nous avons d’abord lancé la nouvelle Mini en Chine. Elle sera produite à Oxford en 2026. "

Même s’il regrette la rapidité de mise en place du nouveau bonus, Vincent Salimon, président du groupe BMW en France reste fair-play alors que les marques BMW et Mini ont réussi la première étape de leur conversion à l’électrique. Mini compte sur la force de ses valeurs résiduelles pour supporter une éventuelle perte du bonus dans sa version après le 15 décembre.

1 actualité

4,00 € HT

Pack 10 Actualités

30,00 € HT

Les différents abonnements InfoMarchéClub

Recevoir par mail la Lettre quotidienne des actualités

Recevoir par mail des Alertes Infos

Recevoir par mail les Lettres Statistiques et Evénements

Accès illimité à tous les articles du journal

Accès illimité à la base de données statistiques automobile

 

Tarifs préférentiels pour les événements Autoactu.com

  

Autres articles

Analyse

Les politiques publiques de la batterie : le "darwinisme administré" de la Chine face au libéralisme de l’UE et le soutien des Etats-Unis

Le Gerpisa est un réseau mondial qui fédère les travaux des chercheurs en management, en économie, en sociologie, en histoire … qui s’intéressent à l’automobile. Il organise ses Rencontres Internationales chaque année et propose chaque mois une journée parisienne. La dernière avait lieu vendredi 10 novembre et M. Alochet y est venu présenter ses travaux d’analyse comparative des politiques chinoises, américaines et européennes de la batterie. De ses travaux se dégage le sentiment d’une difficulté fondamentale et difficilement surmontable de l’Europe à faire aussi bien non seulement que la Chine mais encore que les Etats-Unis. Face à ce constat, la question de savoir s'il faut attendre que l’Europe soit plus forte et/ou si il faut lui en demander moins se pose.