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14/01/2021 - #Bentley , #Bugatti , #Dacia , #Ferrari , #Lamborghini , #Nissan , #Peugeot , #Pininfarina , #Porsche , #Fiat , #Ford , #Chevrolet

Péchés Capitaux, version auto

Par Jean-Philippe Thery

Péchés Capitaux, version auto

C’est bien connu, nous sommes tous pécheurs, y compris -certains dirons surtout- en tant qu’automobilistes. Mais en ce début d’année, je vous propose une aide à la rédemption.

Spécialiste du Moyen-Age, l’historien Michel Balard ne s’en est pas moins intéressé au XXe siècle, qu’il fait véritablement commencer le 28 juillet 1914, jour où l’Autriche-Hongrie déclara la guerre à la Serbie, enclenchant les hostilités du premier conflit global.

Dans le même ordre d’idée, certains verront peut-être dans l’Annus Horribilis dont nous venons de nous défaire sans grand regret, le "vrai" démarrage du XXIe siècle. Comme si une catastrophe de dimension planétaire était seule susceptible d’initier une nouvelle période de 100 ans, quitte d’ailleurs à ce que cette dernière ne le soit plus tout à fait.

Mais laissons là ces considérations abstruses, puisque l’important, c’est de savoir que tous nos problèmes sont enfin résolus grâce au changement calendaire. Au diable donc les piafs de mauvais augure, qui ne manqueront pas de nous rappeler que c’est en 1919 que la terrible épidémie de 1918 fut la plus virulente.

Et c’est donc avec un enthousiasme non dissimulé que je vous présente formellement mes vœux, même si j’ai attendu la deuxième chronique de la nouvelle année pour le faire, afin de m’assurer que "l’autre" -que je me refuse à nommer par prudence superstitieuse- était définitivement révolue. Ne rigolez pas, on vient de voir que même les spécialistes ne respectent pas systématiquement les effets de seuil historiques.

Mais au-delà des formules circonstancielles, j’ai également décidé de me rendre utile en cette période propice aux bonnes résolutions, que je me propose de vous aider à définir, du moins s’agissant de celles qui feront de vous un automobiliste meilleur en 2021. Et comme je ne suis pas homme à agir sans méthode, je ferai appel à la grille de lecture aimablement fournie par Evagre le Pontique, (célèbre anachorète du IVe siècle), et validée par Grégoire le Grand qui fut, comme chacun le sait, Souverain Pontife de 590 à 604.

C’est évidemment des sept péchés capitaux dont il est ici question, dont je vous livre sans plus tarder ma version adaptée à l’automobiliste.

L’avarice (l’hypermiling)
C’est l’ordre alphabétique qui nous fait commencer par les pingres, grigous, grippe-sous et autres ladres. Et si vous pensez que leur pire vilénie consiste à rouler en Dacia Sandero entrée de gamme à 3 euros par jour sans apport (LLD de 61 mois), détrompez-vous. La liste des équipements de la voiture la moins chère de France aura tôt fait de vous convaincre que la radinerie n’est plus ce qu’elle était.

Et surtout, il existe en la matière une pratique autrement condamnable : j’ai nommé l’hypermiling. Evidemment dérivée du "mile", unité de mesure saugrenue donc anglo-saxonne, celle-ci consiste à rouler avec pour seule et unique préoccupation de réduire au minimum sa consommation de carburant, l’œil rivé sur l’affichage des "kilomètres au cent" dispensé par l’ordinateur de bord.

L’hypermiler -pardonnez-moi cet épouvantable néologisme angliciste- caresse donc la pédale d’accélérateur comme si elle reposait sur un œuf de naja prêt à éclore, ne délivrant le précieux carburant aux chambres de combustion qu’au compte-gouttes, ou plutôt gouttelettes. En contrepartie, il frise l’exultation à chaque fois que le chiffre des dixièmes effectue une rotation dans le bon sens, retardant d’autant la visite tant détestée à la station-self-service.

Si vous croyez que je fustige à tort un comportement vertueux qui devrait être encouragé au nom de la préservation d’un liquide à la fois dispendieux et de plus en plus rare, songez à ce que celui-ci peut avoir de dangereux, sans même faire appel aux plus radicaux de ses adeptes, lesquels n’hésitent pas à aborder les descentes moteur coupé et transmission au point mort, surgonfler les pneumatiques, ou coller au cul des camions pour bénéficier de l’aspiration qui accompagne leur sillage aérodynamique.

Je me contenterai donc de mentionner celui que nous rencontrons tous régulièrement, qui aborde les axes autoroutiers à 40 km/h sur une voie dont il feint d’ignorer qu’elle est d’accélération, laissant à celui qui déboule derrière lui à 36,11 mètres/seconde le soin de lui ménager la place dont il aura besoin pour se "poser".

Mais par-dessus-tout, comment ne pas répudier une obnubilation contraire à la nature même d’une automobile, dont la mécanique a pour noble mission de transformer un liquide hautement énergétique en mouvement, par la grâce de la sainte combustion ? On accordera certes des circonstances atténuantes au conducteur d’un véhicule électrique en fin de batterie, qui peut céder momentanément à l’hypermiling par crise de "range anxiety". Mais s’il est question de se déplacer sans carburant consommer, alors que ce soit à pied, à cheval ou à vélo, mais pas en voiture !

La colère (la vitesse)
En 2014, le jeune conducteur d’une Citroën AX 14 TRD Société de 1993 affichant 685.000 km bouclait un tour du célèbre circuit du Nurbürgring dans le temps record de 9 minutes et 55 secondes. Les modifications minimales apportées à son auto n’affectaient pas le vaillant 1.360 cm³, qui se contentait donc des 52 chevaux d’origine. 

Voilà qui démontre, si besoin était, qu’il ne faut pas confondre vitesse et préparation, et que nul n’est besoin de grande puissance pour faire preuve de vélocité. Disponible sur ToiTube, la vidéo de ce véritable exploit à 126 km/h de moyenne permet de vérifier que notre homme exploita à fond les capacités de son humble destrier, sollicitant la mécanique jusqu’au dernier tr/mn, changeant de rapport avec la célérité d’un vrai pro et profitant au maximum de l’adhérence latérale des petits pneumatiques.

Elle nous rappelle également que ce qui distingue le vrai pilote du conducteur, c’est qu’il est capable de rouler vite dans une voiture lente. S’il est donné à tout un chacun d’écraser l’accélérateur d’une machine puissamment motorisée en observant sereinement l’aiguille du spidomètre visiter des zones graduées que la morale et la maréchaussée réprouvent, le professionnel conduit avec ses tripes.

S’il était encore parmi nous, Paul Morand nous le confirmerait probablement : l’homme pressé, le vrai, est un homme en colère.

L’envie (la frime)
Bertone, Giugiaro, Pininfarina, Scaglietti, Zagato!
Je sais ce que vous avez maintenant en tête : quelque chose comme une Lamborghini Miura, une Alfa-Romeo Giulia GT, un Coupé Peugeot 406, une Ferrari 250 GTO, ou encore une Aston-Martin DB4 GTZ. Ou un autre modèle peut-être mais peu importe. Parce que je vous fiche mon billet que 100% d’entre vous se sont représentés une élégante et voluptueuse carrosserie, mais pas un habitacle.

L’Homo Automobilis appartient tout de même à une drôle d’espèce, lui qui accorde grande importance lors de l’achat de sa voiture à ce qu’il en verra le moins lorsqu’il s’en servira, autrement dit, le design de son extérieur.

Pourtant, force est d’admettre que les occasions de s’admirer au volant d’une automobile sont plutôt rares, sauf à s’arrêter à hauteur d’un commerce généreusement vitré, offrant le reflet immobile -et donc forcément frustrant- d’un objet conçu pour le mouvement.

Il y a également ceux qui jettent un coup d’œil en arrière lorsque s’éloignant de leur voiture, ils actionnent la commande à distance de fermeture des ouvrants, avec le regard gratifié de celui qui se sait possesseur d’un bel objet roulant.

Mais rien de tout cela ne m’empêche de penser que c’est essentiellement en fonction des autres qu’on choisit la plastique de sa monture. Certains protesteront, jurant leurs grands dieux que c’est en esthète qu’ils goûtent à l’esthétique de leur "Bellissima 2000 GT", sans se soucier du qu’en dira-t-on. Vraiment ? L’exhibitionnisme me paraît encore plus retors lorsqu’il se pare des habits de la discrétion
Parce que même pour ceux qui ne visent que l’approbation discrète du connaisseur qui est visée, il s’agit ni plus ni moins que de provoquer l’envie.

La gourmandise (la glisse)
J’ai avoué dans une précédente rubrique l’activité coupable à laquelle je m’étais livré il y a bien longtemps au retour d’un voyage du Brésil. Surpris par le blanc manteau qui s’était posé un dimanche soir sur la région parisienne, j’avais dû me résoudre à déneiger ma voiture qui dormait dehors, la perspective d’une nuit annoncée glaciale promettant de tout congeler.

Après une session de balai plutôt pénible pour qui revenait de l’été austral, j’aurais dû rentrer me réchauffer. Mais je pris pour une invitation la couche immaculée de chantilly recouvrant les rues désertes environnantes, et je passais donc l’heure suivante à faire le finnois version pilote de rallye, en dérapage à 20 km/h dans les courbes de spéciales imaginaires, jouant d’un frein de parking qui était encore à ma main pour provoquer de belles dérives en caméra lente.

Depuis que les puces veillent sur notre conduite extérieure, les plaisirs de la glisse sont devenus rares. Un tas de dispositifs aux acronymes abscons répriment désormais le moindre mouvement latéral, nous empêchant de goûter aux joies simples que connaissait la génération de ma grand-mère, qui disait volontiers de sa Simca 1000 qu’elle "chassait" sur la poudreuse.

Ne restent guère pour en profiter que les modèles anciens -mais hors Crit’Air- ou ceux qui possèdent encore une touche magique "Machintruc électronique Off". A moins que… certaines sportives de haut rang disposent d’assistances sophistiquées à plusieurs niveaux de tolérance, permettant de "prendre de l’angle" sans danger, avant d’être remis sur le droit chemin. Souhaitons que se démocratisent bientôt ces systèmes, qui offrent en quelque sorte l’équivalent des plaisirs crémeux ou chocolatés sans les kilos en plus, mais sur quatre roues en dérapage.

L’orgueil (la taille)
Depuis quelques années, il est de bon ton de fustiger les grosses.
Je parle des voitures bien sûr. Ont fleuri récemment sur les réseaux sociaux des visuels confrontant les différentes générations d’un même modèle, mais fonctionnant à l’inverse de ces pubs "Avant/Après" faisant la promotion de programmes minceur. En l’occurrence, ce sont donc les versions modernes des Fiat 500, Austin Mini ou Porsche 911 qui exhibent leur surcharge pondérale.

La critique est facile, oubliant quelque peu qu’aux époques suscitant nos soupirs nostalgiques, le moindre choc sur une portière épaisse comme du papier à cigarettes se chargeait d’amaigrir définitivement son occupant le plus proche. Je doute par ailleurs que les rouspéteurs de service renoncent aux vitres électriques, air conditionnés et autres toits en verre qui migrent de plus en plus de la liste des options vers celle des équipements de série. Enfin, je rappellerais volontiers aux esprits chagrins qu’il faut bien loger leur propre embonpoint, entretenu par les nourritures rapides et super transformées.

J’ai d’ailleurs pour ces derniers une très mauvaise nouvelle. Parce que le modèle le plus vendu au monde est le Ford F150, un pick-up "full size", étalant son châssis échelle sur 244 pieds de longueur et 147 d’empattement (respectivement 6,19 m e 3,99 m) dans sa version "SuperCrew Caisse Longue" et pesant pas moins de 4 912 livres (2 228 kg), même avec la benne chargée d’air (ce qui est le cas la plupart du temps).

Je vois déjà les moues condescendantes à l’évocation de ce que d’autant considèrent comme le véhicule de fonction du "Bumpkin" par excellence (cousin pas germain du redneck), même si beaucoup rêvent en fait secrètement de le conduire. J’en sais quelque chose pour avoir roulé 6 mois en Nissan Frontier D22, modèle de la catégorie en-dessous avec un bon mètre en moins, mais largement aussi impressionnant ramené à l’échelle du parc automobile francilien.

Et surtout, je me souviens avec délice du weekend à Curitiba où j’ai disposé d’un énorme Chevrolet Silverado, particulièrement du moment où je l’ai arrêté au feu à côté d’un S10 du même constructeur. En observant le géant qui venait de se ranger auprès de lui, son conducteur pourtant largement bodybuildé aux suppléments nutritionnels avait instinctivement retiré son bras tatoué de la portière, et s’était recroquevillé dans le siège d’un véhicule devenu soudain trop petit, alors que détendu, j’en profitais pour le toiser du haut de ma cabine étendue.
Vous pouvez dire ce que vous voulez : en certaines circonstances, ce qui compte, c’est la taille.

La paresse (l’autonomie)
Sélecteur de la transmission en position "Drive", régulateur de vitesse auto adaptatif calé sur 135 km/h pour échapper à la sanction des radars qui poussent derrière les piles de pont, le conducteur pianote sur l’écran tactile multimédia, histoire de … pianoter sur l’écran tactile multimédia.
L’assistant de maintien en ligne sanctionne immédiatement l’écart de trajectoire par une correction du volant. L’ennui règne déjà à bord, même si le gobelet de café installé dans le porte-du-même-nom encore chaud, témoigne de l’arrêt récent effectué à la station-service, ordonnée par le détecteur de fatigue.
J’en assez dit sur le sujet. Elle vient quand cette foutue voiture autonome ?

La luxure (l’opulence)
En 2012, Eric Clapton prit livraison d’une Ferrari SP12EC au siège maranellesi de la marque. Inutile de chercher dans sa gamme, puisque celle-ci constituait un modèle unique réalisé spécialement à l’intention du célèbre bluesman, évoquant la non moins fameuse BB512 des années 70 dont il avait auparavant possédé 3 exemplaires.

Tel(le) que je vous connais, ce qui vous intéresse le plus, c’est de savoir combien l’ami Eric a déboursé pour sa belle GT, réalisée dans le cadre du programme de personnalisation "one-to-one", avec l’aimable participation de Pininfarina et de quelques ingénieurs de la marque au petit cheval pas content.

Beaucoup plus que vous ne l’imaginez. Autrement dit, l’équivalent de 21 à 23 Ferrari 458, modèle qui a servi de base à cette réalisation exclusive, soit 4.750.000 euros. A ce tarif, on se réjouit que la Rock Star ait considéré ce projet comme "l’une des choses les plus satisfaisantes de sa vie". Même si l’affaire n’est peut-être finalement pas si mauvaise. Que représente en effet ce chiffre comparé au 11 millions H.T. déboursés par l’acquéreur anonyme de la Bugatti "Voiture Noire", dévoilée au Salon de Genève 2019 ?

Eh bien je vais vous le dire : de quoi faire rire le Sultan de Brunei, du garage duquel plusieurs jours sont parfois nécessaires pour sortir un modèle donné, parmi les 3.000 à 5.000 qui s’y trouveraient. L’homme a d’ailleurs lui aussi l’habitude de se faire confectionner des modèles bien à lui qu’il commande systématiquement en plusieurs exemplaires. C’est le cas des 7 magnifiques Ferrari 456 Station Wagon (eh oui, des breaks de chez Fezza), mais aussi des 18 copies de la Bentley Jawa de 1994, dont on ne peut pourtant vraiment pas dire qu’elle constitue ce que la marque a fait de mieux.

Et tant mieux si vous trouvez ça indécent, puisque ça confirme que le parallèle établi entre luxure et opulence avait bien lieu d’être. Ce qui caractérise d’ailleurs l’une autant que l’autre, c’est qu’elles ne connaissent pas de limite. Si on a du mal à savoir où elles commencent, il est plus difficile encore d’imaginer jusqu’où elles peuvent aller

Voilà, maintenant que j’ai rempli ma part du contrat, vous disposez de toutes les informations nécessaires pour établir la liste de vos bonnes résolutions automobiles pour 2021. Mais je vous laisse juge quant à savoir si elles doivent vous éloigner du péché, ou vous en rapprocher…

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Réactions

Merci pour ce bel article M. Thery.
Le principal péché capital dans l'automobile, c'est bien de voir fondre son capital lors de l'achat de ce bel objet roulant tant convoité...
;-)

En parlant de péchés, (l'orgueil ?), Tesla doit rappeler158 000 bagnoles qui perdent la mémoire..
;0)

J’aime la benne remplie ......d’air

J’adore aussi la vidéo de l’AX au Ring,bravo ,dire q’uneTesla na pas fini son tour face à Porsche))))))
Mdr

Merci Jean-Philippe, je me marre bien le jeudi matin.

J'ai visionné la vidéo de l'AX sur le célèbre circuit. Je ne sais pas qui manie le monstre en furie, mais il aurait mérité (mérite ?) une invitation Gold Card aux 24 H du Mans.

Concernant le défaut d'envie (de frime), il suffit de choisir une bagnole avec une ligne sublime ET un intérieur magnifique. Fastoche ! Tiens, au hasard : une Jaguar, genre E Type ou, nettement plus abordable, une bonne XJ6 (with the small rear lights of course). Certes, si on n'aime pas la ronce de noyer ni les compteurs Smith, ni les boutons basculeur, c'est mort. J'en raffole !

Ceci étant, je ne mets absolument pas sur le même pied le péché d'envie et celui de frime. Quelle frime à avoir envie d'un éclair au café ? Ou d'aller pisser ? (ça c'est pour Jo)

Aux compagnons du talon pointe ...

Oui pour les exploits de l'AX sur le nordschleife ...J'avais vu la video d'une "Aisque" blanche "stock" immatriculée en Touraine...Je ne sais si il s'agit du même conducteur (pardon, pardon Pilote ) que celui figurant en illustration de l'article ...chapeau bas dans les deux cas...

A ce propos (sur le thème vitesse) ils sont quelques uns à se risquer au volant de "petites sportives tricolores" plus ou moins datées (205 gti, Clio Rs, Megane Pareil, 306 S16 ou swappées + ou -)... La plupart ont un beau coup de volant et c'est toujours marrant de les voir se confronter (souvent à leur avantage) à des gros cubes, particulièrement dans les parties sinueuses ...gros coeur et compétences en pilotage requises assurément ...
Sur ce terrain, il faut aussi saluer l'aisance de Mathieu Sentis, le journaliste essayeur de l'Argus mais aussi pilote ...qui réalise avec une grande maitrise ses tours video du Nurburg...Selon la monture, tantôt avec grande fluidité, tantôt dans un registre plus équilibriste lorsque le sol est mouillé ou que le mode "track" est enclenché...
Chapeau l'artiste !
;0)

Quelle est ma surprise de retrouver E.C., God, Slowhand dans la chronique de Jean-Philippe!
Cet homme dont je suis la route depuis la mort de Jimi Hendrix est devenu un sage et je suis étonné de le retrouver dans la luxure lui dont le surnom signifie produit les effets somptueux de ses enchaînements somptueux de notes avec une économie de mouvement de sa main élégante.
Je serais curieux de trouver les détails de cette FERRARI 2012 Spéciale Éric Clapton ce que je vais chercher à faire toute effacer cessante, mais je l’imagine sobre personnalisée intérieurement pour être à sa main lui qui pratique l’économie de moyens mais qui apprécie la beauté somptueuse de la nature en particulier quand il contemple de sa villa du Domaine de la Nartelle, la baie de St Tropez sillonnée d’arabesques d’écume lors de la course des vieux gréements. Ce n’est pas la baie de Rio mais c’est beau et apaisant à regarder.
Non Jean-Philippe pour moI la luxure c’est plutôt le sultan de BRUNEI qui accumule un modèle en plusieurs copie de toutes les couleurs de l’arc en ciel.

Ce qui est étonnant c'est que ce circuit n'impose toujours pas le port du casque pendant les journées touristes.
;0)

Etonnant peut-être, mais tant mieux !
Liberté chérie.
Après le casque, ce sera la combinaison ignifugée, puis le harnais 6 points, les extincteurs, la structure tubulaire...

Honnêtement... le casque ne serait pas de trop ...Sur n'importe quel circuit il est obligatoire d'une manière ou d'une autre même pour des événements "club" ...
Et pour revenir au Nurburg vu les figures involontaires c'est loin d'être un luxe ...Ce que la liberté y perd un semblant de sécurité y gagne ...
;0)

J'aime bien ce film quand je vois le gars faire vibreur gauche, vibreur droit...
En revanche ya de la particule...
;0)

Le plus drôle c’est que l’AX a un attelage......pour tirer là Tesla?

Bon, cela va faire du boulot pour répondre à tout le monde...mais allons y !!
D'abord sans le brillant chroniquer M.Thery chez Autoactu...ce serait morne plaine...
(et oh la rédaction...où ils sont passés les deux autres chroniqueurs de choc ?)
Concernant M.Thery la culture il faut bien l'étaler ...et c'est péché de ne pas citer le grand, super grand et l’unique Jérôme Bosch et ses péchés capitaux, et que pour ne pas rater l'exposition du siècle sur lui au musée du Prado à Madrid je me suis déplacé en voiture de Paris. La voiture sers à quelque chose !!
Il y a trois musées qui ne faut pas rater dans sa vie...et c'est le Louvre, Le Prado et l'Ermitage (cherchez...) et l'Italie... (hi,hi...).
Je suis d'accord 100% avec le spécialiste du Lac d'Annecy...concernant Jaguar, et les malins qui sont pauvres peuvent se contenter largement du coupé F type moderne (la Jaguar type E ce n'est pas pour les pauvres) avec son petit quatre cylindres BVA, cabrio ou coupé et qui a un design à faire pâlir les italiens et qui se trouve dans la Centrale en super état pour un peu plus de 30000 euros...IMBATTABLE sur ce point...
C'est le rêve ultime le coude à la portière lentement au bord de la mer sous un printemps ensoleillé !!
Il y a un autre coupé qui fait un effet bœuf dans la rue... mais que tout le monde méprise, il a une boite qui mouline...et c'est le coupé Lexus RC hybride...et j'ai fait acheter à un pote un sur la cote d'Azur pour 33000 euros avec deux ans et 7000 bornes au compteur !! Il y en a qui ne pige que dalle !!
Ah les coupés "dynamiques" allemands (diesel) comme disent beaucoup d'essayeurs nases...comme le coupé Mercedes 220 CDI à 80000 euros !!
Bon appétit les gogos riches qui veulent fumer !!
Comme nos classes moyennes riches n'ont pas dépensé plus de 80 milliards en consommation durant tout le Covid....il y a de l'espoir qu'ils achètent de belles caisses pour le moins !! Je veux bien ramasser les sept péchés à moi tout seul.

Pour Bernard Oustric...et puisqu'il parle de Jimi Hendrix...s'il a raté sur Arte Concert (et en streaming) le concert d'Eric Clapton c'est vachement dommage...mais il est encore temps de le voir...et aussi le documentaire sur sa vie qui va avec !!!

Passer de Hendrix à Clapton (CBE), encore un amoureux de Stratocaster qui écrit ici...
(Et sans vibrato pour Clapton)
;0)

Pour les isolés du Covid et les autres...voir le documentaire "La vie en Blues" sur Eric Clapton, est voir qu'il était super pote avec Hendrix...et qu'il a chialé comme une Madelaine à sa mort !
Le concert de Clapton en Live au Royal Albert Hall est un must !!

Encore hors sujet...mais techniquement les concerts d'Arte son a écouter avec un casque intra (et pas wireless et anti bruit) et surtout pas avec le casque de caca livré avec son smartphone.
Claquez au moins entre 80/100 euros pour un casque HI RES(olution) de chez Shure, AKG, Senheiser, Denon ou Yamaha (pas la moto) !! Évitez tout ce qui est chinois.
Pour les radins, pas à la FNAC et autres Cdiscount, mais chez Ebay.com ou .fr en occase neuve sur des sites en Europe.

Pierre a raison mais si on est le fils du sultan de BRUNEI c’est sur la dernière barre son de Bose connectée par HDMI sur son décodeur canal que l’écoute est somptueuse à condition d’habiter à la campagne.
Mais trêve de Hors Sujet cette FEURRARI 2012 sp E.C.est-elle rouge comme celle de Michel LEBB?
Quelles sont ses options particulières choisie par E.C.?
A près de 5 Millions le bout, je suis curieux de voir sa personnalisation par un maître de la Stratocaster

Cher Bernard Oustric, tapez sur votre moteur de recherche préféré Ferrari SP12 EC. Il y a même Wikipedia qui en écrit une tartine, photo à l'appui.

Merci Bruno.
Je n’avais pas le temps ce matin et n’avais trouvé que la noire vendue en août 2020 aux enchères en Angleterre.
La Rouge en queston me déçoit quelque peu.

L'attelage c'est pour une meilleure répartition des masses par rapport au mazout devant.
Encore qu'une AX fait partie de ces voitures dont il faut surtout faire passer l'avant pour que le reste suive..
;0)

Gast !!187 km/h dans l’AX ,elle carbure à quoi la TRD?

... Pour le "pilote" de l'AX .. Sur le mouillé, en dépit des pneus étroits, il y avait un peu de boulot côté volant ... Ah les transferts de masse avec un empattement court ... Quand même, une belle illustration d'un poids "plume" plutôt bien mené (si ce n'est pour les incursions systématiques sur les vibreurs) qui, dans une des vidéo disponibles sur ToiTube, remontait des véhicules sensiblement plus puissants ou au rapport poids puissance plus favorable ...

Au passage avec un tel véhicule thermique doté d' une motorisation plus moderne, les 2 litres au 100 devaient être envisageables ... A l'époque de "l'Aisque", l'inflation des équipements de sécurité et/ou de confort voire de dépollution n'avait pas encore frappé ...

PS : il paraîtrait qu'après l'arrêt du binôme108/C1 ... l'on songe, en haut lieu, à un revival électrique de l'AX qui viendrait s'intercaler entre l'AMI et la future C3 elec ... Affaire à suivre (?).
;0)

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