Publicité
Publicité
09/05/2022 - #Tesla

Musk et Twitter visés par une plainte d'un fonds de pension de Floride

Par Reuters

Musk et Twitter visés par une plainte d'un fonds de pension de Floride
Elon Musk et Twitter sont visés par une plainte déposée vendredi par un fonds de pension de Floride, aux Etats-Unis, qui cherche à empêcher le milliardaire américain de boucler rapidement le rachat du réseau social pour 44 milliards de dollars (41,6 millions d'euros). /Photo prise le 28 avril 2022/REUTERS/Dado Ruvic

(Reuters) -  Elon Musk et Twitter sont visés par une plainte déposée vendredi par un fonds de pension de Floride, aux Etats-Unis, qui cherche à empêcher le milliardaire américain de boucler rapidement le rachat du réseau social pour 44 milliards de dollars (41,6 millions d'euros).

Dans une plainte déposée devant un tribunal du Delaware, le fonds de pension de la police de la ville d'Orlando estime qu'en vertu de la réglementation du Delaware, Elon Musk ne peut pas boucler le rachat de Twitter avant 2025 au moins à moins que des actionnaires représentant les deux-tiers des actions Twitter non détenues par le patron de Tesla n'approuvent l'opération.

Elon Musk est un "actionnaire intéressé" après avoir acquis une participation de plus de 9% au capital de Twitter, ce qui exige un délai, peut-on lire dans la plainte. Twitter et son conseil d'administration sont aussi visés par la plainte.

Le réseau social n'a pas souhaité faire de commentaire tandis qu'un avocat d'Elon Musk n'a pas répondu dans l'immédiat à une demande de commentaire.

Publicité

Réactions

Que fait la police ?
En somme l'avocat est "SEC" ?
Oui je sais ...nan y a pas de souci, je sors, c'est mérité !
;0)

l'avatar de Musk...
"..Take my breath away..."
;0))

Votre commentaire

Vous devez être connecté pour publier un commentaire

Autres articles

Analyse

Une année de démotorisation en Ile-de-France ne nous dit pas grand-chose sur l’avenir de l’automobile en France

La publication d’un assez sérieux travail sur les véhicules encore immatriculés au 1er janvier de chaque année sur les années 2012 à 2020 par l’Apur a conclu à une baisse des parcs sur les 3 dernières années dans la Métropole du Grand Paris et sur l’année 2020 en Ile-de-France. Il en est résulté des commentaires qui surinterprètent assez largement ce résultat et tendent à surfer sur l’idée que Paris est de moins en moins une exception et que ce qui s’y passe depuis de longues années maintenant va se passer ailleurs aussi. Le contenu même de l’étude tend, prétendons-nous, à montrer que l’inverse est vrai.