Publicité
Publicité
28/09/2020 - #Mercedes-Benz , #Nissan , #Ford

Cédric Lebreton rejoint WeNow

Par Xavier Champagne
Chef de rubrique

Cédric Lebreton rejoint WeNow
Cédric Lebreton rejoint la PME française WeNow qui commercialise une solution connectée de coaching en éco-conduite.

Cédric Lebreton vient de quitter son poste de directeur marketing de Mercedes-Benz Trucks pour rejoindre la start-up WeNow en tant que directeur commercial à partir du 1er octobre.

Directeur marketing de Mercedes-Benz Trucks depuis 2017, Cédric Lebreton a quitté ses fonctions pour prendre, à compter du 1er octobre, la direction commerciale de la start-up WeNow, qui vient de réaliser sa première levée de fonds. Créée en 2014, la PME française développe et commercialise une solution connectée permettant de réduire ses émissions de CO2 à travers un système de coaching éco-conduite.

Diplômé de l’ESSCA, Cédric Lebreton a débuté sa carrière chez Ford, avant de rejoindre Nissan, pendant 5 ans, notamment en tant que zone manager et chef de produit Qashqai & Murano. En 2007, il rejoint Mercedes pour assurer la direction marketing de la plaque Paris de Mercedes-Benz Retail France et la direction de la vitrine Mercedes sur les Champs-Elysées. En 2014, il est nommé directeur commercial de Fuso Trucks, puis, en 2017, directeur marketing de Mercedes-Benz Trucks.
Son successeur n'a pas été encore nommé chez Mercedes-Benz Trucks.

Publicité

Réactions

Coaching éco-conduite…
- "Levez un peu votre pied droit M'ame Dugommier.."
;0)

Votre commentaire

Vous devez être connecté pour publier un commentaire

Autres articles

Analyse

Abandon de la taxation des véhicules selon leur masse : pourquoi c'est inévitable

Alors qu’on avait souligné déjà lors de la présentation des propositions de la Convention citoyenne sur le climat, le rejet par le Président de certaines propositions comme celle qui consistait à limiter la vitesse sur autoroute à 110 km/h, c’est maintenant celle qui consistait à taxer les véhicules en fonction de leur masse qui vient souligner que la Convention va voir la part de sa liste de propositions retenue par le législateur s’écourter. Les ONG y verront un mépris de la cause écologiste et de la démocratie participative. On peut aussi y voir une reconnaissance de facto, plutôt salvatrice, de la nature politique des questions automobiles.